.Ecrire un mémoire à l’intérieur de cette problématique, et selon les diverses approches possibles qu’elle suggère, c’est s’engager dans une réflexion qui sera utile pour ce qui va suivre, d’abord dans l’école jusqu’au Projet de Fin d’Etudes, ensuite en dehors de l’école, soit dans les activités projectuelles proprement dites, soit dans les activités de recherche qui y seront reliées.
Ce mouvement d’à venir se prépare ici et maintenant à l’école.
Les relations de l’architecture, du paysage, de l’urbain, à toutes leurs échelles spatio-temporelles entrelacées, sont à comprendre comme une chose à concevoir, construire et urbaniser, afin de parvenir à des projets de milieux vivables, dans les enjeux qui sont les nôtres, dès aujourd’hui, pour demain.
Il sera ici question des espaces réels, qu’une connaissance in situ indispensable viendra compléter, après investigation et recherche, par le projet, comme analyse d’abord, comme synthèse possible ensuite.
Les compétences des paysagistes, des urbanistes et des architectes seront mobilisées, afin de mieux percevoir et analyser les espaces, comme milieux, formes, manières de penser et d’habiter, en s’intéressant aux articulations entre l’aménagement paysager, le bâti, le quartier et la ville.
La relation mémoire-projet est à envisager sérieusement et volontairement.
L’équipe enseignante sera attentive à cet aspect de l’engagement de l’étudiant dans ce travail de recherche, d’écriture, et aussi d’architecture et de paysage.